Protéines Alternatives

DSEC a la capacité de mettre en œuvre les procédés de ses clients et des Fournisseurs de Technologie pour construire des unités de production de protéines alternatives pour les secteurs FEED et FOOD en tenant compte de leur éventuelle intégration dans les usines agro-industrielles existantes (pour la matière première, les effluents et les utilités).

DSEC peut ainsi aider ses clients à répondre à l’évolution rapide des préoccupations du marché en termes de nutrition et de santé ainsi qu’à la demande croissante de substituts de viande respectueux de l’environnement.

Les protéines alternatives couvrent les secteurs suivants :

• Myco-protéines
• Protéines unicellulaires
• Protéines végétales

La demande accrue des consommateurs pour une alimentation plus saine ainsi que la sensibilisation croissante au changement climatique ont entraîné une forte croissance du marché pour le secteur des protéines alternatives.

Parallèlement aux composés produits par fermentation de précision, les sources de protéines animales conventionnelles peuvent également être remplacées par des ingrédients riches en protéines provenant de plantes, de champignons, d’insectes ou de cultures tissulaires.

La plupart des protéines conventionnelles sont extraites aujourd’hui de graines riches en protéines (telles que le soja, les pois, les pois chiches ou les lupins).

En ce qui concerne les insectes, les grillons représentent la source la plus courante d’insectes comestibles, tandis que les vers de farine et les mouches soldats noires sont principalement utilisés pour l’industrie de l’alimentation animale.

Les mycoprotéines et la viande cultivée sont principalement utilisées pour les substituts de viande.

La plus forte valeur ajoutée de DSEC dans le secteur des protéines alternatives réside dans la production de protéines par fermentation, par ex. des algues, des champignons, du soja ou d’autres ingrédients de base sont utilisés pour le processus de fermentation.

La fermentation de la biomasse s’applique généralement à la production de protéines unicellulaires (bactéries ou levures, par exemple), tandis qu’avec une fermentation de précision, d’autres molécules d’intérêt seront produites (par exemple, caséine, HMO, acides aminés).

En plus des protéines, d’autres matières peuvent également être extraites des végétaux telles que la bétaïne à partir de la betterave à sucre ou l’inuline à partir de la chicorée ou du topinambour.